Badr Rami
Chanteur Syrien d’origine,
Marocain de naissance et de cœur.
Ambassadeur de la musique arabe et du Tarab
En particulier
(Mouachahates et Koudoud Halabiya).
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Badr Rami, étoile montante; est un artiste confirmé dans le domaine des Mouachahates (poèmes à forme fixe) et Koudoud Halabiya (chants d’Alep). Il est le fils spirituel du grand chanteur Syrien Sabah Fakhri (L’un des piliers de la musique arabe, symbole d’authenticité et son disciple confirmé). Dès son plus jeune âge, son penchant allait vers les grands ténors de la musique et du chant arabe tels que, Oum Kalthoum, Mohamed Abdelwahab, Melhem Barakat…
Badr Rami est un jeune Artiste d’origine Syrienne, né au Maroc à Casablanca. Son père, le Maestro Mohamed Rami Zeitouni, est un célèbre violoniste Syrien. Il est originaire de la ville d’Alep, capitale spirituelle, culturelle et économique de Syrie et l’un des centres les plus importants de la musique arabe orientale dont la population porte un amour sans égal pour la musique et l’art authentique.
Badr Rami est connu sur la scène artistique arabe grâce à ses participations dans les plus grands festivals nationaux et internationaux, auxquels il a obtenu un succès retentissant. Ce fut une reconnaissance pour lui par un large public connaisseur et admirateur, lorsqu’il présentait des chansons patrimoniales de Mouachahates et Koudoud Halabiya, apprises auprès du grand maitre en la matière, Sabah Fakhri, symbole du chant arabe et de ravissement.
Badr Rami a culminé lorsqu’il fut présenté au public lors du festival de la culture et la musique soufie à Fès en 2009 par le grand maitre en personne Sabah Fakhri.
La carrière artistique de Badr Rami a débuté à la fin des années 90. Il s’est choisi un style noble, pérenne et éternel, qui lui a donné la célébrité sur la scène artistique arabe contemporaine. Il est resté et restera déterminé à préserver les chansons du patrimoine originel, et à le présenter dans le style distingué du grand maitre Sabah Fakhri. Le talent de Badr a commencé, par coïncidence dès sa naissance, car ce jour-là, Sabah Fakhri était en visite au Maroc pour célébrer l’anniversaire de l’accession de Sa Majesté feu le Roi Hassan II au trône. Ainsi, il lui a rendu visite à la clinique en vertu des liens forts qui l’unissaient à son grand père arrivé au Maroc en 1957 et c’est en vertu d’une vielle tradition qu’il lui souffla dans l’oreille « Al Adan » son premier appel à la prière et avec la voix sublime de Sabah Fakhri. Ce fut la grande porte d’entrée de Badr dans le monde spirituel, artistique et musical en particulier.
Ainsi l’amitié entre Sabah Fakhri et le grand père de Badr, s’étalant d’Alep à Casablanca a été le maillon fort de la carrière de Badr. Et n’oublions pas que toute personne issue d’Alep est influencée par les Mouachahates et Koudoud Halabiya, belles paroles, belle mélodie et le Tarab authentique… On connaît d’Alep et de ses habitants l’amour de l’art et de la créativité et une bonne écoute des belles œuvres musicales. Chaque demeure d’Alep qui se respecte, possède au moins un instrument de musique (en général luth) ou d’une belle voix, et l’artiste Badr Rami a grandi dans un environnement artistique, culturel et musical. Son grand-père avait une belle voix et jouait de l’accordéon, en plus il était professeur d’université et titulaire d’un doctorat en droit. Son père est violoniste, il dirige son groupe musical « Angham Achark » (Mélodies d’Orient) en qualité de maestro, il l’accompagne dans la plupart de ses concerts artistiques et musicaux, il est titulaire d’une licence en droit. Quand Badr était jeune, il écoutait les Mouachahates et Koudoud Halabiya et la musique du Tarab dans toutes les fêtes de famille et rassemblements sociaux. Badr, les mots et la musique ne faisaient qu’un, et ceux-ci coulaient de lui de manière naturelle. Les écoles des grands artistes étaient une source inépuisable de savoir, tels que : Sabah Fakhri, Mohamed Khairi, Adib Al Dayekh, Cheikh Sayed Darwish, Cheikh Ali Al Darwish, Mohamed Othman, Cheikh Omar Al Batsh, Cheikh Bakri Al Kurdi et Cheikh Salama Hijazi, en plus des chansons d’Oum Kalthoum, Mohamed Abdelwahab et des grands artistes de la scène arabe…
Badr Rami avait l’habitude d’écouter tout ce qui avait un lien avec la musique soufie et particulièrement les ténors, Cheikh Sayed Al Nakshabandi, Cheikh Sabri Moudallal, Hamza Shakkur et Hassan Al Haffar… Sa récitation du Saint Coran (Tajwid) lui a permis de s’adresser au grand public de manière claire et compréhensible à l’instar des grands déclamateurs, tel que Cheikh Mohamed Khalil Al Husari, Cheikh Mustafa Ismail et Cheikh Abdelbasset Abdessamad, Cheikh Mohamed Seddik Al Menchaoui, Cheikh Ali Al Hudhaifi… Ce fut la base de sa justesse dans les mélodies, les mots et les rythmes.
Quand il avait deux ans, son père, sa mère, les membres de sa famille et quelques personnes proches, ont commencé à pressentir son talent, quand il fredonnait quelques chansons du Tarab.
Puis il se lança dans la percussion dès sa tendre enfance, alors qu’il n’avait que deux ans. Lorsqu’il atteignit l’âge de six ans, son père l’inscrit en plus de ses études, au Conservatoire pour apprendre la musique et jouer du luth et du violon, son professeur de luth était l’ancien directeur du Conservatoire de Casablanca, et l’un des piliers les plus importants de l’art de jouer du luth au Maroc et dans le monde arabe M. Hadj Younes. Durant cette période, Badr a attiré l’attention et l’admiration de nombreux grands artistes et professionnels des médias, qui ont reconnu et loué son talent, tels que : Sabah Fakhri, Wadih El Safi, le grand compositeur égyptien Mohamed Sultan, le grand journaliste égyptien Wajdi Al Hakim, Abdelwahab Doukkali, Mahmoud El Idrissi, Lotfi Bouchnak, et d’autres… Badr participait à tous les événements culturels et réunions techniques scolaires et académiques, jusqu’à la fin de ses études, car il s’est spécialisé dans le domaine de l’administration des affaires, puis a commencé à se tourner vers le chant, l’art et la musique.
A pas lents et confiants, Badr Rami s’est engagé sur la voie du chant du Tarab, spécialisé dans le domaine du patrimoine et du Tarab authentique » Al Mouachahates, Al koudoud Al Halabiya, Al Adwar, AL Mawal (chant d’improvisations solo) … »
Sabah Fakhri a formé Badr à son propre modèle, à travers lequel il s’est ouvert au répertoire de la musique arabe avec ses diverses références et styles lyriques. Ainsi, il s’est façonné un personnage performant des Mouachahates et koudoud Halabiya. Il a su enrichir un programme artistique diversifié de célèbres poètes arabes, classiques et contemporains.
Comme les grands artistes et musiciens, Badr Rami a su interpréter les chefs-d’œuvre du Tarab, du Samaiyat au Mouachahates, puis Al Dawr, et les improvisations solo, en passant par lel Mawal puis les Koudoud Halabiya et aussi les chansons de Tarab…
Badr Rami est l’une des voix distinguées sur la scène artistique dans le monde arabe, avec le consensus des mélomanes du Moyen-Orient et du Maghreb. L’interprétation de l’original de manière magistrale, dans la même forme artistique et le même style musical présentés par le grand artiste Sabah Fakhri…
De par sa naissance au Maroc, Badr Rami a grandement bénéficié de sa vie au Royaume du Maroc, car il a acquis une expérience musicale et culturelle de deux écoles différentes « marocaine » et « syrienne ». En raison de sa culture marocaine mélangée d’Arabe, de Français et d’Amazigh ainsi que de sa culture Syrienne, l’artiste Badr se distingue par ses capacités artistiques élevées, de sorte qu’il peut chanter plusieurs autres styles du Tarab avec mérite et distinction. Il chante les grands ténors de par le Monde, des répertoires comme :
Oum Kalthoum, Mohamed Abdelwahab, Abdelhalim Hafez, Wadih El Safi, Fayrouz et Melhem Barakat, Abdelwahab Doukkali, Abdelhadi Belkhayat… Il ne se limite pas qu’aux Koudoud Halabiya et Mouachahates…
Puisque l’artiste Badr Rami parle couramment la langue française, il se distingue également par sa capacité à interpréter avec brio des chansons occidentales (Charles Aznavour) comme « La Bohème » au Mégarama de Casablanca, démonstration de ses capacités vocales.
L’artiste Badr Rami est également considéré comme l’une des voix qui tentent de préserver ce style noble et ancien du Tarab. Ce qui a grandement contribué à l’éclat de son équilibre artistique et créatif, accompagné de son groupe musical « Angham Achark », dirigé par son père, le Maestro Mohamed Rami Zeitouni.
Lors de sa visite à Alep en 2010, l’artiste Badr Rami a rendu visite au fabricant de luth bien connu et dont la notoriété n’est plus à faire, Ebrahim Sukar. Il en a entendu parler de lui et de son art distingué, par ses collègues artistes. L’artiste Badr Rami avait l’intention d’acheter un luth d’Alep à emporter avec lui au Maroc. Lors de cette visite, un éminent joueurs de luth d’Alep était présent, Said Aldali, ami de Ebrahim Sukar, et c’est à travers la conversation, qu’ils apprirent que Badr Rami est un artiste d’origine d’Alep, qu’il est né et vit au Maroc. Quand ils entendirent sa voix ils furent très impressionnés, et Ebrahim Sukar a immédiatement contacté la radio d’Alep en la personne de Abdelkhalek Kalahji, Directeur de la radio, où il va avoir sa première interview artistique en Syrie. Suite à cela, Badr Rami a rendu visite à Sabah Fakhri à son domicile à Alep, il lui a raconté ce qu’a fait le professeur Ebrahim Sukar, alors il a immédiatement contacté la radio d’Alep à son tour et l’a recommandé chaudement en leur précisant son grand talent. Le lendemain, Badr s’est présenté à la radio d’Alep, il fut reçu par le Directeur de la radio de manière chaleureuse et ils commencèrent l’entretien artistique. Badr a fait un bref tour de sa vie artistique ponctuée de quelques morceaux choisis. C’était la première fois que Badr était sur les ondes de Radio Alep et en Syrie.
En 2018, Badr Rami a été invité à se produire au Royal Opéra House de Mascate dans le Sultanat d’Oman, dans le cadre de l’hommage rendu à deux artistes de renommée Pavarotti et Sabah Fakhri. Après le succès du grand concert, il a été invité par l’administration de l’Université Sultan Qabus pour une rencontre artistique avec les étudiants, les professeurs et les administrateurs, afin de présenter un panorama artistique et une conférence sur le patrimoine arabe et authentique de l’art des Mouachahates et koudoud Halabiya. Accompagné de son père, le Maestro Rami Zeitouni, il a donné une conférence au cours de laquelle différents modèles et types de Mouachahates et koudoud Halabiya ont été présentés avec leur explication de manière simplifiée, ce qui a suscité l’admiration du public.
Il faut savoir que cette représentation à Mascate avait pour origine les succès remportés à l’Opéra de Lille en France devant un public composé majoritairement d’occidentaux et qui plus est sans sonorisation et sans micro pendant deux heures avec un Orchestre de différentes nationalités mais professionnel, dans la plus pure tradition et l’essence de la musique arabe et dirigé par le Maestro Rami Zeitouni, l’ovation du public fut sans égale; À l’Institut du Monde Arabe (IMA) à Paris après le succès remporté à Lille, il fut convié à deux représentations pour la communauté arabe. Après le succès des deux représentations à l’IMA, il fut convié pour un concert par l’Administration de l’Opéra du Caire en Egypte. Le succès étant toujours au rendez-vous, les organisateurs du festival Al Malouf de Constantine le convièrent à leur tour.
Parmi les soirées et festivals artistiques auxquels l’artiste Badr Rami a participé :
L’artiste Badr Rami a plusieurs autres tournées artistiques, ainsi que plusieurs participations artistiques privées et publiques majeures dans de nombreuses villes et pays du monde, dont :
Maroc (Casablanca, Rabat, Tanger, Tétouan, Marrakech, Agadir, Assilah, Ksar El Kebir, Oujda, Laâyoune), Syrie (Alep, Damas, Homs, Hama, Lattaquié), Tunisie (Tunis, Carthage), Jordanie (Amman), Sultanat d’Oman (Mascate), Algérie (Alger, Constantine), Egypte (Le Caire), Liban (Beyrouth), Espagne (Marbella, Fuengirola, Madrid), Turquie (Istanbul), USA (Washington), France (Paris, Lille, Cannes) , Chine (Guangzhou, Shenzhen, yiwu).
L’artiste Badr Rami a reçu plusieurs prix et distinctions internationales ainsi que des certificats d’appréciation et des boucliers, notamment :
Il a reçu plusieurs prix et autres certificats depuis ses années d’école…
Certaines de ses œuvres d’art et enregistrements :
L’artiste Badr Rami a rehaussé son équilibre lyrique et artistique avec un magnifique enregistrement musical des chefs-d’œuvre du patrimoine de l’authentique Tarab arabe et de l’ancienne Koudoud Halabiya sous un titre éloquent intitulé « Fi Rihabi Annagham – Al Koudoud Halabiya. (Part 1) », et il comprend un groupe de chansons patrimoniales et Koudoud Halabiya présenté par l’artiste Sabah Fakhri. Il a récemment sorti une chanson de Tarab moderne intitulée « Bent Elechrin », écrite et composée par l’artiste Mazen Ayoubi. Une chanson qui fut partagée sur les réseaux sociaux, Radio, télévision et chaînes de médias électroniques.
L’artiste Badr Rami étant marocain de naissance et d’esprit, a présenté une œuvre d’art distinguée, en une chanson marocaine, clip vidéo intitulé « Koulna Mgharba », en 2019 à l’occasion du vingtième anniversaire del’accession au trône de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Pour exprimer à travers elle tout son amour et son attachement au Maroc, à son peuple et à son Roi.
L’artiste Badr Rami promet aux amateurs de sa variété musicale et de son art de plus agréables surprises, en suivant le chemin et les traces des grands chanteurs et professeurs qui constituent ses parrains et son école exemplaire de créativité musicale originale.
L’artiste Badr Rami a reçu plusieurs noms artistiques, dont : Sultan Al Koudoud Al Mouachahates, Pavarotti Al Arab, King de l’Opéra, Sultan de Tarab, Khalifa et successeur de Sabah Fakhri… Cependant, comme il l’a dit dans des interviews de presse, il préfère être appelé par son nom personnel « Badr », car, c’est son grand-père qui l’a nommé. Il remercie toujours ses fans et la presse pour leur intérêt pour sa personne et son art, il souhaite toujours être aussi bon qu’ils le pensent et il aime la simplicité en tout. Dans l’habillement, dans la parole, et dans l’humilité.
Au fil des années, l’artiste Badr Rami est devenu l’un des chanteurs distingués et éminents qui ont marqué la scène artistique arabe. Artiste majeur, il a participé à plusieurs festivals internationaux et a chanté dans les plus grands et les plus célèbres opéras de nombreux pays dans le monde.
Mohamed Rami Zeitouni est un artiste d’origine syrienne, né dans la ville d’Alep en 1957. Il a grandi dans un environnement d’art et de musique, car Alep est considérée comme la ville matrice pour les meilleurs arts du chant et de la musique dans le monde arabe.
Le Maestro Rami a étudié au Conservatoire Arabe de Musique d’Alep et a été encadré par de grands artistes et professeurs tels que les deux frères Ibrahim et Nadim (fils de Cheikh Ali Darwich), le pionnier de la composition de « Al Adwar et de Mouachahates et Koudoud Halabiya » … Il maîtrise le violon, qu’il a étudié avec le professeur Youssef Hajjeh et le professeur Ohanes Kostanian, et a appris d’eux les origines de l’exercice du violon, puis après cela, il a appris à jouer de l’instrument oud, et a accompagné de nombreux géants de l’art et de la musique arabe authentique tels que « Sabah Fakhri », « Wadih El-Safi », « Mayada El-Hennawi », « Lotfi Bouchnak », « Abdelhadi Belkhayat », « Abdelwahab Doukkali, « Naima Samih »… et d’autres grands artistes arabes. Au cours de sa formation artistique, il possédait les codes d’accès à de nombreux Mouachahates et Koudoud Halabiya, et les chansons du Tarab authentique, telles que les Oum Kalthoum et Mohamed Abdelwahab… Il a également contribué à la reprise de nombreux concerts scolaires et universitaires.
Il obtient son baccalauréat à Alep, et intègre la faculté de droit de l’Université arabe de Beyrouth… Puis il s’installe au Maroc, qu’il aime, en 1980 pour terminer ses études supérieures à l’Université Hassan II, où il a obtenu une licence en droit. Il se mari au Maroc, il a un fils qui a hérité de l’art musical, la grande vedette « Badr Rami », et le nouveau porte-flambeau du chant arabe.
Le Maestro Rami a étudié les lettres arabes et la musique dans plusieurs écoles et instituts et a dirigé un groupe d’orchestres dans de nombreux concerts majeurs pour un certain nombre d’associations caritatives internationales telles que « LIONS CLUB INTERNATIONAL » et « ROTARY CLUB INTERNATIONAL » et d’autres … et également dans un certain nombre de festivals nationaux et internationaux (Maroc, Egypte, Tunisie, Algérie, Jordanie, France, Espagne…), Il a contribué à plusieurs reprises à des émissions de télévision et de radio.
Il a été choisi comme membre du jury dans plusieurs festivals et concours de chant, dont le Festival de la chanson arabe au Maroc, aux côtés de grands artistes comme: le grand artiste compositeur « Mohamed Sultan », « Mahmoud El Idrissi », le grand artiste, compositeur « Hassan EL kadmiri» et le poète marocain « Dr. Mustapha Baghdad » et d’autres… Il est membre du Syndicat Libre des Musiciens Marocains.
Il a reçu plusieurs prix, certificats d’appréciation et décorations, dont :
– Un certificat de remerciement et un trophée d’appréciation de la direction du Festival de la chanson arabe de Casablanca, représentée par le Secrétaire général du Syndicat libre des musiciens marocains, Dr Mustapha Bagdad, et le grand artiste et chanteur marocain, M. Mahmoud El Idrissi en 2010.
– Un trophée d’appréciation de la direction de l’Association de protection du patrimoine, représentée par son président, M. Mohamed Azzelarab Amrani, pour sa participation à une soirée musicale dans le cadre des activités du Festival du patrimoine de « Khamis Attourath », et pour sa contribution également à la préservation et à la continuité du patrimoine arabe authentique, à Fès – Maroc en 2010.
– La Médaille du Rotary Club International « ROTARY CLUB INTERNATIONAL » pour le travail caritatif, pour ses contributions efficaces dans plusieurs soirées sociales et caritatives au profit des personnes ayant des besoins spéciaux et des groupes nécessiteux en 2011.
– Un trophée d’appréciation de l’entreprise internationale de fromagerie « Bel », qui produit le fromage « La Vache qui Rit », dans le cadre de sa fête annuelle à Tanger en 2015.
– Un trophée d’appréciation pour sa participation active à l’ouverture de la première session du Festival International Soufi de Tarika Aissawia à Casablanca en 2018.
Il a reçu plusieurs prix et autres certificats depuis ses années d’école…
Le Maestro Mohamed Rami Zeitouni accompagne son fils l’artiste Badr Rami dans toutes ses participations artistiques locales et internationales, dont :
Le Festival International Mawazine à Rabat, le Festival des Musiques Sacrées à Fès, le Festival International Malouf de Constantine, le Festival à l’Opéra Royal de Mascate – Sultanat d’Oman, l’Institut du Monde Arabe à Paris, l’Opéra de Lille en France… Il a des tournées artistiques dans de nombreux pays.
Le Maestro Mohamed Rami Zeitouni vise à préserver le patrimoine originel du chant arabe à travers sa participation à des festivals nationaux et internationaux, accompagné de son fils, l’artiste créatif Badr Rami.